Le débit et la distance

La vitesse d’exécution et la distance du bruleur sont modifiées constatent. Pour une meilleure adhérence et de plus beaux joints, nous devons simplement être constant. Il faut chauffer la membrane élastomère uniformément. On peut avoir une vitesse élevée en balançant le chalumeau de gauche à droite. La seule différence avec un débit lent est le nombre de fois que l’on va passer le bruleur a la même place, c’est une question de préférence. Cela ne change en rien la qualité de la fusion.

Ce qui est important est la vitesse d’exécution, placer la membrane élastomère, flatter la membrane pour sortir l’air et le poli bitume. Plus nous chauffons longtemps au même endroit, plus légère sera la pression appliquée pour flatter et sortir le bitume. Si non, la membrane risque d’être marqué et manquer de granule. Le contraire s’applique aussi. Quand a la distance du bruleur, plus il est proche, plus il y a un risque d’éclaboussure et de marquage. Nous devons avoir une bonne distance pour ne pas avoir ces cotés négatifs. La fusion des membranes étant essentiel pour la qualité de l’ouvrage. On doit souder les deux membranes égales, avec le même débit, en rotation et avec une vitesse d’exécution pour avoir les meilleurs résultats. Tout doit être analyser lorsqu’on effectue une soudure. Quelle soit au plancher ou sur des murets la qualité des soudures dépendra de la capacite d’analyse du couvreur et de la vitesse d’Ajustement apporter par ce dernier. Tout doit être prit en considération pour décider quelle technique sera le la plus approprié.

Une crépine à drain sera fixé pour empêcher les feuilles ou les déchets de pénétrer à l’intérieur et bloquer l’évacuation d’eau du toit. Une révision de chaque joint doit être faite pour s’assurer de l’imperméabilité de votre toiture. C’est la dernière étape d’une installation standard de toiture en membrane élastomère sur un pontage de bois. Cette technique vous permettre d’avoir la conscience tranquille pour les 30 à 40 années à venir.

Suivre ces étapes dans l’ordre est primordiale pour le chevauchement de toutes les membranes empêchant l’infiltration d’eau.

Pour les toits avec pentes, toujours en partage de bois, les principes et les techniques sont les mêmes. Une différence, le départ de la membrane.

Où commencé l’installation des rouleaux? Nous avons le choix. Contrairement au toit plat qui doit absolument partir du drain pour suivre la logique de la goutte d’eau. Pour un toit en pente, nous pouvons installer les rouleaux en membranes élastomère au vertical ou à l’horizontale. Si l’ont fixe les rouleaux à l’horizontal, nous devons commencer au bas de la pente. Pour ne pas avoir de joint à l’envers car l’eau pénétra plus facilement à l’intérieur de la membrane si celle-ci est mal soudée. Dons nous devons toujours chevaucher les membranes à partir du bas. Le coté n’a pas d’importance sur l’efficacité. Pour le coté esthétique nous devons commencer de l’arrière de la maison vers l’avant. De cette façon, le chevauchent de la membrane sera moins visible. Le cordon de bitume (le joint) est moins visible l’lorsqu’il est chevauché vers l’Arrière. Cette technique peut s’applique pour une faible pente. Si la pente est le moindrement prononcé, l’Application de la membrane élastomère à l’horizontal n’est pas approprié car les rouleaux pourraient dévier de leur trajectoire vers le bas vue la pression exercée par le poids de ce dernier.

Pour ce qui attrait de la technique verticale, qui à mon avis est la meilleure, le rouleau doit partir du bas de la pente vers le haut. Pour la même raison de la logique de la goutte d’eau. Un toit plat peut être plus long que le rouleau même donc un chevauchement étant inévitable. Nous pouvons partir la membrane à gauche, a droite ou au centre du toit. C’est une question esthétique. Pour ma part, je commence toujours à l’arrière de la maison. C’est important de distancer les joints entre la sous couche et la membrane de finition. C’est pour cette raison que l’on commence avec un ½ rouleau, sur la longueur, de la sous couche et un rouleau plein pour la finition. Cette technique permette de distancer les joints. De plus une distance de trois pouces entre la fin de deux rouleaux collés est de mise. Pour la pose des solins métalliques de départ (drip au périmètre) elle doit être fixé par-dessus la sous couche FS180. Pour la suite une bande de renfort de 4 pouces. Il en va de même pour le chevauchement de la sous-couche au plancher. Par la suite nous pouvons souder la membrane élastomère sur toute la superficie.

Le chevauchement de la membrane de finition sera de 6 pouces. Nous devons toujours granuler la zone qui sera chevaucher. Cela permet d’avoir une pleine adhérence.

Et voila vous avez maintenant les technique d’application pour un toit plat avec ou sans pente et une composition standard sur un partage de bois.

Il y a une multitude de compositions possibles et dans tous les cas une logique doit être respecter pour effectuer un travail de qualité. La toiture élastomère reste la meilleure toiture à ce jour.